Nombre de poèmes : 559
Champs obligatoires
garance a écrit le 19/11/2021 à 17h10
garance a écrit le 14/11/2021 à 23h03
A MICHAEL HUTCHENCE
INXS
22/1/60
22/11/97
Mon bel artiste
novembre arrivant rappelant ton départ
aux paradis blancs
tu n'as jamais quitté mon boulevard musical
mon étoile
love you forever
garance
Issacar solitaire a écrit le 09/11/2021 à 12h49
JAMAIS ENCORE
A force du vent j'aperçois des souvenirs, douloureux, mon âme n'a plus d'avenir.
Je ressens encore ce chagrin, celui d'un coeur aimant et fidèle qui tombe subitement dans la déception.
Tu m'a enlevé de ton coeur sans raison, moi qui croyais encore
Alors que tu me regardais, tu le voyais lui
Tu me ressentais plus, tu ne m'aimais plus.
Mais pourquoi subitement ?
Je reconnais être parfois dur et sévère mais tu reconnais que ma sévérité etait tendre.
Toutes mes colères étaient juste parceque je t'aimais et tu le savais très bien.
Mais tu as décidé de te livrer à d'autres charmes, tu as fermé tes yeux et tu m'as oublié.
Moi qui t'aimait tant, moi qui t'admirais tant.
Mais pourquoi subitement ?
Jamais je ne trouverais de réponse, mais j'accepterai d'apprendre, d'apprendre encore plus.
Je me souviendrais des beaux temps et ils existeront toujours.
Peut-être la nuit je te rêverais, mais qui sait peut-être que je te reverrai, mais jamais encore je ne t'aimerai.
SOLITAIRE
garance a écrit le 06/11/2021 à 17h17
A FREDDY MERCURY
5/9/946
24/11/1991
mon bel artiste
trente années que les paradis blancs
t'ont pris dans leurs bras
tu restes toujours sur mon boulevard musical
et restera inforgettable forever mon étoile
garance
garance a écrit le 01/11/2021 à 17h47
BOULEVARD DES SOUVENIRS
Mes dix sept ans et toi un peu plus
nos souvenirs à jamais
d'une robe blanche à la capeline couvrant
une chevelure dorée
nous nous étions dit oui ce jour là
dix années de partage, de gaité, de fous rires
de coups de gueule, de voyages, de sorties entre
nos copains te laissant naviguer sur la péniche
du coup de foudre pour cette jolie blonde
mon livre s'est refermé en lui laissant ma place
tant d'années passées, mais jamais ennemis,
chacun naviguant sur le boulevard de la vie
à l'aube de cette sournoise vieillesse allumant
les images d'une vie passée sans plus se retourner
toi qui fut mon amour, mon ami, mon souvenir de jeunesse
folle de rayons de soleil, de brume, de la vie qui passe
tu resteras à jamais
à claude forever
LA CITE DE MORTS
Dans ce grand jardin du silence
mes pas se promène sur le sol doucement
mon regard se posant à chaque demeure éternelle
vos âmes sont t elles au paradis bercées par la douceur
du temps qui passe, vos souvenirs vous recouvrant
d'amour, le ciel et les étoiles illuminant votre repos éternel
mes êtres chers lorsqu'a mon tour les paradis me prendront par la main
vous m'accueillerez dans votre jardin du silence bercé par le chant des oiseaux
par le soleil insolent baigné par les perles de pluie
garance