Nombre de poèmes : 559
Champs obligatoires
garance a écrit le 18/02/2021 à 20h32
garance a écrit le 17/02/2021 à 21h07
1928 1991
2 MARS
Mister gainsbarre
cette chère solitude que tu nous a laissé en tirant ta révérence
en ce 2 mars 1991
30 ans que les paradis blancs t'ont pris dans leurs bras
comme je t'ai aimé cher artiste et tu resteras aussi dans
mon univers musical
tu restes inforgettable
mon salut poétique
Montparnasse 1997
rue de verneuil, mon regard ému devant ta maison
garance
nepetta a écrit le 15/02/2021 à 15h08
Le torchon
Acheté neuf, au cours de ses multiples utilisations,
il commença à se défraîchir.
Devenu trop sale, après de multiples lavages,
on le désigna comme chiffon et reprit une nouvelle vie.
Tout d'abord, caressant les vitres ou les miroirs
il devint copain avec la poussière.
Celle-ci habitait tous les espaces,
des plus petits ou plus hauts.
Perchée, épaisse ou simple, particulièrement
sur le haut des armoires.
puis le temps venant et la lessive
de plus en plus en colère, elle lui fit des trous.
Mais il restait actif, se promenant sur un tableau noir
D’une enfant fraîchement née et avide de calcul.
Un vieux professeur sentimental
Lui retrouva son odeur d’autrefois.
Hélas l’enseignant alla retrouver les étoiles
Et avec elle, le chariot de feu.
Est-il présent au paradis ?
Le vieux torchon lui fit signe et l’enfant
Vit au travers des trous sa barbe fleurie.
Nepetta
garance a écrit le 08/02/2021 à 20h49
saint valentin Février 2021
Nous dormirons ensemble (louis aragon
mon amour ce qui fut sera
le ciel est sur nous
comme un drap
j'ai refermé sur toi mes bras
et tant je t'aime que j'en tremble
aussi longtemps que tu voudras
nous dormirons ensemble
Maître altruiste a écrit le 31/01/2021 à 03h59
Elle avait peur de perdre un être chère
Elle était attentionnée surtout ambitieuse
Et ses regards lointaines cette pisseuse
Ma place dans son coeur est un chaire
Ses intentions à travers ses égards
Son corps lisse,sa beauté demeure
Malheureusement je l'ai pas cru,pétard
Avec sa bonté d'une nouvelle ère
Elle était un amour cachant,épartant
À sa valeur je m'adonne,jouissant
Elle était aussi l'amour de ma vie
Ou presquement mon amour à vie
S'éduquait de ma façon éclaboussante
Surtout peur de me rendre malheureux
Ses yeux fascinants sa vision étouffante
C'était un amour inconditionnel et pieux
En particulière cette jeune époustouflante
Sa peur définie sa fidélité et sans rancune
Souvenant,certains de mes faits je pleure
Seulabre je t'ai perdu ma mignonne
Je te rends hommage ma dame battante
Parfois c'est la meilleure qu'on rejètte
Quand on ne sait de quoi s'y prendre
Désolé ma belle,pas de compte à rendre
T'as beaucoup souffert à cause de moi
J'étais difficile lourd trop de poids
Te voir te débarrasser de ces désarrois
Te réouvrir la porte du bonheur sans proie
SMILE (nat king cole
souris même si ton cœur saigne
souris même s'il se brise
quand il y a des nuages dans le ciel tu t'en remettra
si tu souris malgré ta peur et ton chagrin
souris et peut être que demain tu verras le soleil briller
à travers toi
éclaire ton visage avec joie d'allégresse
cache toute trace de tristesse même si une larme
peut toujours couler
c'est le moment ou tu dois continuer d'essayer
souris à quoi bon pleurer
tu vas te rendre compte que la vie vaut encore la peine d'être vécue
simplement si tu souris