Désire d'un soir
Dans les bras d'un homme on se laisse bercer tendrement
Par des mots d'amours !
Tu m'as rendue heureuse et amoureuse !
Je ne pourrais t'oublier !
L'espoir d'un soir
Apprend moi à t'aimer
Notre vie est en suspend !
Même si par malheur notre histoire s'épuise
On prendra des chemins différents !!
Isadorable

Délivre-moi de cet enfer
Qui est le confinement !
Ces êtres qui sont privés de s'aérer la tête pour quelque heure de bonheurs
Par l'astre de lumière qui rayonnent ! Leurs éclats de leurs physionomies
Délivrez-nous !
De cette douleur qui nous rend toute excentriques !
Les un et les autres !!
On ne peut qu'attendre des jours meilleurs de la vie
Et du renouveau, et la paix dans le monde

Désire d'un soir
Dans les bras d'un homme on se laisse bercer tendrement
Par des mots d'amours !
Tu m'as rendue heureuse et amoureuse !
Je ne pourrais t'oublier !
L'espoir d'un soir
Apprend moi à t'aimer
Notre vie est en suspend !
Même si par malheur notre histoire s'épuise
On prendra des chemins différents !!
Isadorable

Ou rêvassait à l ombre une femme galante:-

A ce ciel bleu sur ton cerisier rèvait du jour,
Par tous les chemins devenus un seul idéal,
Ou reposait sur cette terre le cheminement d un seul ètre,
Ou tu rêvais à une femme par bien-aimée à ces vents venants,
Qu un ordre quelconque devenu ouvert qui croyait à cette terre,
A plaire à ton ètre si venu une seule que n aurait jamais cru à ces vents,
Ou ne cessaient de venir de ce ciel bleu ou n y avait-il de libre incessamment,
Sur cette terre qu avait chanté à l amour que jamais rien ne cessait de vivre:

-Si devenir grands les vents à ces majestueuses étoiles du ciel,
Que toujours n aurait cessé d ètre en scandant à cette aube lumière,
Que rien n eut eu à ces vent devenir à cette gloire d exister,
Ou la lumière fut et devint à l éclaici de toutes choses,
Ce qu à ce ciel bleu entendit froisser à ces vents venants,
Si aimée de L Ordre Souverain devenu lumière à ce ciel bleu,
Ou n eut-il à jamais assez d existence qu à ces étoiles depuis toujours,
Ou scandaient la majesté des vents qu à ce jour ou tournoyait à ces aériens,
Que rien n eut eu cessé à ces vent de tournoyer à ce rève d ètre,
Ou rien devenu qu à ces devenir chantants à ces étoiles du ciel,
Que leurs gloires étaient résonner toutes choses vivantes,
Qu à cet Ordre vivreraient à leurs passages toutes choses en vie,
Ou n eut cessé alternants du jour à ces communs de la nuit,
Que rien n eut eu à ces vent à leurs puissances d ètre sous tout le jour,
Que jamais rien n auraient cessés de bruiter à ces vents à tous leurs bruits,
Ou les vents n aurait jamais de cesse d aller en hurlant à ces vents devenir,
Ou rien n aurait cessé de fuir avec tous ces vents devenir à ce ciel soumis,
Le jour et la nuit n auraient de cesse d ètre libre envers quiconques,
Libres envers tous et quiconque l amour,.
Ou les vents auraient aimé ètre heureux avec le ciel.
Ou jamais contredit n eut eu ce tort de ne jamais avoir saisi,

les paradis perdus

toi joli dandy aux boucles blondes
des années 65
ou tu chavirais le cœur avec "aline"
tu parcourus ton boulevard musical avec
passion et talent
mes 14 ans de tes débuts
toi de Juvisy, moi de Corbeil
je t'ai écouté souvent
je n'ai jamais pu m'offrir cette rencontre musicale
j'aimerai te chanter "les mots bleus tous les mots bleus
tout ceux qui rendent les gens heureux
et te voilà parti pour les paradis blancs
pour tout ceux qui t'ont aimé, reçois cet ange gardien
pour que les paradis blancs te recouvre d'amour et d'éternité

A christophe (13/10/45 16/4/2020
A toutes celles que tu as aimé, à ton fils, à ta fille