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BN a écrit le 05/04/2020 à 16h19

Vieillir
C’est un point de vu
C’est un point de vie
Non pas pour ressasser le passé
Mais reconnaître sa finitude avec sincérité
C’est aussi dans le silence,
Dialogué avec les rides de son corps
Ne pas se mentir à chaque rythme des saisons
Ces rides qui font sourire les rêves éveillés du printemps, écoutent ce qui se présente
Ces rides qui admirent la lumière qui monte et éclairent la raison d’être, l’été
Ces rides qui font le tri, se débarrassent des encombrants, ce fardeau, l’automne
Ces rides qui entretiennent les énergies, enrichissent les expériences, l’hivers
C’est rides qui font vivre selon la loi du devoir, jubilatoire
Sourire à la vie, est cette chance qui nous est donnée
En témoignent les cheveux blancs, poivre gris, le charme des années défilants
Mettant en lumière l’image d’un vécu transcendant certes lointain mais si proche
Le temps s’en est allé, au bonheur contemplatif, l’amour des opportunités
S’occuper des autres, partager tout ce qui nous est autorisé
Sans négliger son corps, voyage au pays de la sagesse
Comme un photographe, classe les albums, souvenirs
Laissant de côté l’inutile, presse le temps, inexorable
De ce grand âge, la pratique de la sagesse intérieure
A toi seul tu es la bibliothèque, la mémoire même
Au grand dame des secrets et du temps qui passent
Et ne reviendra plus, comme coule l’eau du ruisseau
Elle coule sans regarder en arrière, avance
Profites en, partage, prends soins des visages des autres
Ah ! Vieillir quelle chance, un état d’esprit
BN 6020/Héricy

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Phoilosophe pinois a écrit le 27/03/2020 à 13h31

Pandemia

Un jour, un pangolin lointain porta un message divin.
Arrêtez de tuer la planète, pour ne penser qu'à vos recettes.
Ce fut en l'année deux mille vingt, que l'homme rencontra son destin.
Comme toujours, en ces circonstances, on entendit beaucoup la France,
Oyez braves gens écoutez ! Inutile de vous inquiéter !
A ça, nous sommes préparés ! Mieux que la Chine ou la Corée !
Et que dire de l'Italie, qui n'a même pas assez de lits.
Et sur toutes les chaînes infos, se succédèrent les blaireaux.
Chacun y allait de sa science, souvent teintée de suffisance,
Comme ces médecins de plateaux, plus à l'antenne qu'au boulot.
'Ce n'est qu'une petite grippe, soyez confiants, ayez la frite !'
Bien sur, le gouvernement, et sa bande de courtisans,
Chaque jour faisaient le bilan de leur gestion de charlatans,
Repris avec allégresse par une grande partie de la presse.
Ils annonçaient le lundi 'blanc', le mardi 'noir', à l'avenant.
On vit fleurir les 'comités', 'conseils' et autres billevesées,
Qui servaient à impressionner quelques millions de confinés.
Un message clair fut délivré, 'restez chez vous ! Allez votez !'
Et si vous n'avez rien à faire, allez planter des pommes de terre.
Concitoyens, restez groupés ! Mais non, ils se divisèrent !
Les cons occupèrent la rue, les citoyens leur pied à terre.
Tandis que certains se tuaient à nous empêcher de mourir,
Le gouvernement annonçait 'les masques vont bientôt venir'.
Ils vinrent, mais un peu tard, après des morts, un cauchemar.
La souffrance envahit la France, jusqu'au jour de la délivrance.
Les gens sortirent de chez eux, errants, et peut être heureux.
Plus rien ne sera comme avant ? Chez les gens, oui, pas chez les grands.

Philosophe pinois

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N.descamps a écrit le 14/03/2020 à 12h30

Tu es mon amie pour la vie
Je m'excuse auprès de toi
Toi qui est fane de Randy Vanwarmer
Je t'aime bien
Comme j'aime Damien
Tu es la plus sympa de mes amies
Comme celui que j'ai pour Damien.
Je veux te dire merci.

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N.descamps a écrit le 13/03/2020 à 20h17

Bonjour à tous je vous écrit au nom de ma petite sœur Catherine
Elle adorait tous ses amis de quizz bizz
À causes de ses deux maladies très très rares
Elle s'est retrouvé à l'hopital
Et son neveu adoré l'a déconnectée
Et quatre membres de quizz bizz l'on insulté
En la traîtant de menteuse
Son neveu l'a défendu
Il a aussi tout imprimé.
Soit que je porte plainte contre vous
Et je fais fermer quizz bizz car avec les imprimés
Et son dossier médical et son la preuve se son hospitalisation
Ou vous la reconnectée et on oublie cette affaire
À vous de voir.

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Leonie a écrit le 04/03/2020 à 03h06

]Atoi ma mère toi que j'aime toi qui m'aime nous somme lune et soleil lorsque le jour se lève tu souris et ne dis mot pas un regard méchant seul ton amour pour moi éclairait ma conscience car je n'ai pas pu m'empêcher de contempler ton doux visage je t'aime vraiment maman je pense sincinrement car je ne sais comment te l'expliquer car j'ai du mal à te l'exprimer

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