Nombre de poèmes : 559
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L a écrit le 08/05/2023 à 15h44
L a écrit le 08/05/2023 à 15h38
Le fil rouge.
Tout petit il s'allume dans mon cœur,
Ce sentiment troubleur.
Il m'envoie des signaux depuis le fond,
Après la neige fondu sur le mont,
Il est perdu, et ne sais plus son chemin.
Il se tient à ses fils fins,
Qui se cassent en chemin.
Seul un qui persiste et
ne veut pas me lâcher.
Bénétulier a écrit le 13/04/2023 à 11h03
-L ENCHANTERESSE
Suave et sensuelle,toi la nuit,à ce ciel,
Danseuse,reine des étoiles bien-aimées,
Tu dansas la vie,le désir,l éternité,
O sublime princesse,devant L Eternel,,
Ou jamais ne défie à sa nuit,o mortel,
Ou louange à sa déesse nue aimée,
Danse,danse,aux étoiles la nuit rèvée,
Ou toutes les lumières chantaient L Immortel,
A sa beauté revint l ètre la douce nuit,
O ce désir,éternel,ou l amour la suit,
Ou délivrante là,ce rève défendu,
Pour revenir d ètre à sa cause le jour,
Ou toutes nudités libres,mais revenues,
Chante la nuit,chante la beauté de L Amour.
STEPHANE BENETULIER
le 12/04/2023
Ecrit à Thonon
Alain a écrit le 10/04/2023 à 08h22
Mémoire quand tu nous tiens !
Ça y est j’ai oublié
J’ai oublié ton corps
Serré contre le mien
La moiteur de ta peau
La pointeur de tes seins
Cette bouche gourmande
Qui croquait dans ma vie
Et cette langue avide
Qui enroulait la mienne
Au fond de cette nuit
Où tu te faisais mienne
Oublié de nos yeux
Le silencieux dialogue
Qui faisait à l’amour
Un langoureux prologue
J’ai oublié aussi
Que tu étais ma femme
nos cœurs Brûlant tous deux
D’une synchrone flamme
Ça y est j’ai oublié
Enfin je veux le croire
Afin pour une fois
Je puisse dormir ce soir.
Alain a écrit le 10/04/2023 à 08h21
Mémoire quand tu nous tiens !
Ça y est j’ai oublié
J’ai oublié ton corps
Serré contre le mien
La moiteur de ta peau
La pointeur de tes seins
Cette bouche gourmande
Qui croquait dans ma vie
Et cette langue avide
Qui enroulait la mienne
Au fond de cette nuit
Où tu te faisais mienne
Oublié de nos yeux
Le silencieux dialogue
Qui faisait à l’amour
Un langoureux prologue
J’ai oublié aussi
Que tu étais ma femme
nos cœurs Brûlant tous deux
D’une synchrone flamme
Ça y est j’ai oublié
Enfin je veux le croire
Afin pour une fois
Je puisse dormir ce soir.
Le fil rouge.
Tout petit il s'allume dans mon cœur,
Ce sentiment troubleur.
Il m'envoie des signaux depuis le fond,
Après la neige fondu sur le mont,
Il est perdu, et ne sais plus son chemin.
Il se tient à ses fils fins,
Qui se cassent en chemin.
Seul un qui persiste et
ne veut pas me lâcher.