❣️Je ne savais pas que pour aimer fallait en souffrir
Je ne savais pas que pour vivre fallait en mourir
Je ne savais pas que pour avoir le meilleur fallait passer par le pire
Et maintenant,je le sais c'est pour sa que j'ose te le dire.

Des fois,j'ai peur de te perdre et des fois cela me fait ni chaud ni froid
Car,je sais au fond de moi
Je t'ai parlé de mes sentiments et de mon cœur en émoi
Je t'ai donné ce qui était en moi
Tout l'amour que j'avais pour toi.

Chaque jours,chaque nuits
Je t'aime toi cette personne qui me fuit
Je t'aime d'un amour vrai,sincère et pur
Et des fois,la vie paraît si dure
C'est comme si je parlais à un mur
Mais cela n'empêche pas que je veux t'inclure
Dans mon futur.

Je t'aime mon amour
Et cela pour toujours
Comme dans les bons moments et comme dans les mauvais jours
Même si au fond de moi,mon cœur est lourd
Malgré cela,tu seras et resteras mon unique amour
Oui toi,mon amour de toujours.
JE T'AIME MON AMOUR...❣️

❣️JE T'AIME MON AMOUR..

Je t’aime de sentiments vrais,
Je t’aime comme jamais je n’ai aimé.
Comment ne plus t'aimer,
Si de toi-même,je ne peux plus m'en passer.
Je t'aime d'un amour passionné,
Et chacune de mes pensées te sont destinées.
Mais,je voudrais m'excuser,
De t'avoir blessé,
Même si,tu m'en veux,jamais je ne cesserai de t'aimer..
Je t'aime tout en entier
De la tête jusqu'aux pieds
Pout toi,peut-être que c'est insensé
Mais pour moi,c'est la stricte vérité
Je t'aime comme tu es.
Je t'aime Didier
Et,je suis désolée.❣️

PENSÉES pour penser

Telle une œuvre peinte
Les pensées porteront avec poésie
Les messages de l’hiver
Jusqu’au printemps et se
Réveilleront encore en Juin

Pensée blanche d’un amour naissant
Ou Pensée jaune du désir amoureux
Pensée mauve avec sa nostalgie
Du temps qui passe

Pensée noire du chagrin sans espoir
Et les petites Pensées orange
Séduisant désir charnel intense.

Les Pensées rose de la fidélité rivaliseront avec la
Pensée rouge, Ardeur de l’amour
Tandis que les Pensées frileuses se
Cacheront sous le linceul de l’hiver

Sans oublier les lumineuses Pensées,
Celles-ci privées de macules et géantes,
dont la Pensée ne nous quitte pas.

Dans une prairie clairsemée,
Se pavanant sur une table, où trônant Pour susciter des jalousies
Chacune reflétera les moments de Fraîcheur, de liberté suivis des astres,
Qui déclinent en mon âme

Je pourrais, tout ici, me rappeler
Que ma jeunesse se finie sous les Pensées,
Pensées qui se bousculent finalement.

Mylène

D’amour en eau, de fil en lames

Une mer belle ou une belle-mère ?
Si grande, et copieusement imprévisible
Elle charrie des éléments invisibles
Qu’à chaque ressac, vont se travestir.

De ses profondeurs, elle regorge d'histoires
Comme ce nouvel Amour qui est né
Dans son élément, d’émotions torrides
En gouttelettes agonisantes

La mer peut ressembler à un lac
Et la belle-mère nous mettre une claque
Pour rester en phase entre larmes et vagues
Que l’écume repousse en se déchaînant.

Ces deux êtres épris, sortis d’un vagin douillet
Vont bientôt se dissoudre pour ressentir
Le vent dans les cheveux,
La tornade dans les propos,
De la belle mer et de la belle-mère.

L’expérience de l’une, la mère de l’autre
S’enchaîne et se déteste
Pour mener au Paradis
Une bande d’enfants turbulents.

Protectrice ou invasive
Elle se fraye un chemin
Entre deux mondes en repérage
Solides et indispensables.

La belle mer et la belle-mère,
La chérir, la garder pour toujours.
La mer est celle, qui nous permet de vivre,
La belle-mère, tel un garde fou, protège l'Amour.

Nepetta

Naufrage

Au terme d'une vie de garçon, de celle d’une pucelle,
Après la mort autorisée
Entre deux êtres qui se donnent mutuellement,
L’amour se consent, mais ne s’échange pas.

Cette nouvelle naissance, d’une essence inédite,
Créatrice de vies perpétuées,
Croit survivre à tous les coups,
Mais « à la vie à la mort », d’une quelconque manière
S’érode, telle une falaise qui se jette au trépas.

Amour endommagé par le temps,
Érodé par l’innocence qui se métamorphose
Chacun dû faire le constat
Que l’heure de la séparation avait sonné.

Alors ils se sont quittés, en querelles
Et aller et retour d’une décision difficile.
Mêlant avocat ou consentement mutuel
Le mariage n’y était plus.

Au dernier regard, il n’y avait plus d’espoir
Rien qui n'aille, histoire gâchée
Puis, les bambins entre-déchirés
Les mois passant, ils devinrent amis

MYLENE