Nombre de poèmes : 559
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garance a écrit le 26/07/2019 à 19h03
Roz'azure a écrit le 26/07/2019 à 18h42
C'est les vacances... on danse,
C'est les vacances
Selon ses mois
Selon ses yens
Selon ses moyens
On danse...
Promenades, ballades
Maison, gazon
Et baquets d'eau
Des cris, des rires, des jeux d'enfants
Papa, maman
Jouent au cuistot
Salades, grillades
Et marshmallows !
C'est les vacances
Selon ses mois
Selon ses yens
Selon ses moyens
On danse...
Le soleil, là-haut
A enlevé son chapeau
Un rayon m'honore
En glissant sur ma peau
Sous mes paupières
A vol d'oiseau
Je traverse la bruyère
Jusqu'aux cocotiers !
C'est les vacances
Selon ses mois
Selon ses yens
Selon ses moyens
On danse...
Les badauds
Crient qu'il pleuve ou qu'il fasse chaud
Moi sur le dos, je rêve d'eau
Je plonge dans le bleu des eaux
Des mers d'un autre horizon
Noyant mes soucis qui font naufrage
Tels ces coquillages enfouis
Dans le sable fin d'un lointain rivage !
C'est les vacances
Selon mes mois
Selon mes yens
Selon mes moyens
Je m'évade...
ILLY a écrit le 25/07/2019 à 00h47
Illumination
Je consacre un madrigal à ta gloire,
Solennisant ton agrément notoire
Aussi authentique
Aussi véridique.
Sais-tu? plus que les rayons du soleil,
Ton regard illumine sans pareil.
Ton sourire à l'éclat diamantin,
Rend angélique tout diablotin
Ton corps est source de fascination,
Douceur infinie, pure inclination.
Nul besoin d'atours, déjà attachante,
Et naturellent fort alléchante.
Le parfum que tu épands au passage,
Est un élixir minant ton sillage
Ta voix inouïe fait frémir plus d'un cœur
Elle console et éteint la rancœur;
L'entendre, mais quel sacré privilège,
Que les crétins taxent de sacrilège!
Ta présence suffit pour désarmer
Ton absence concourt à alarmer!
=> ILLY
ILLY a écrit le 25/07/2019 à 00h06
Illumination
Je consacre un madrigal à ta gloire
Solennisant ton agrément notoire
Aussi authentique
Aussi véridique
Sais-tu,plus que les rayons du soleil,
Ton regard illumine sans pardil.
Ton sourire à l'éclat diamantin,
Rend angélique tout diablotin.
Ton corps est source de fascination
Ta douceur infinie,source d'inclination:
Nul besoin d'atours,déjà attachante
Et naturellemet alléchante.
Le parfum que tu épands au passage,
Est un élixir minant ton sillage
Ta voix inouïe fait frémir plus d'un cœur
Elle console et éteint la rancœur;
L'entendre,mais quel sacré privilège,
Que les crétins taxent de sacrilège!
Ta présence suffit pour désarmer
Ton absence concourt à alarmer.
Mai 2017=>ILLY
garance a écrit le 22/07/2019 à 20h28
le petit garçon aux escargots
tu t'en allais chaque matin sifflotant par les chemins de campagne
qui te conduisais à l'école du village
tu t'arrêtais souvent, au bord du chemin, la main cherchant quelques escargots
gris que tu couchais dans ton mouchoir à carreaux
ta bouille bien ronde et tes cheveux coiffés sur le côté
tu ressemblais à un petit angelot des temps passés
deux années nous séparaient et nous réunissaient
nos photos en noir et blanc de cette campagne illuminée
d'églantines, de mûres sauvages et de pommiers
accompagnaient cette douce France d'enfants émerveillés
quand tu partis loin pour sept années sur ces océans, ivre de liberté
mes 14 ans chavirait sur ce navire un peu fou de solitude et de regrets de ces années
trop vite passées
notre adolescence mourrait un peu, toi sans moi, et moi sans toi
toi qui me défendais toujours contre vent et marées
déportée au pays du remords je n'ai rien su
toute cette pudeur cachée de votre histoire d'amour
tu n'as rien dit
de cette guerre impitoyable qui naissait dans la nuit le bourreau vous a emporté
tous les deux un soir de juin où le parfum du bonheur enveloppait ce doux nid d'amour
dans ces ténèbres bleu noir où le sang a coulé.
(souvenirs du petit garçon à pressoir prompt à mon frère, à vous deux
le petit garçon aux escargots )
AMOUR A MORT
Amour à mort en lituanie
j'ai froid d'effroi de ton agonie
amour à mort en lituanie
de tes regrets et larmes je les bannis
amour à mort en lituanie
des désirs noirs du chanteur maudit
le vent emporte ses litanies
amour à mort en lituanie
poèmes de lou ensevelis
de janis Joplin à toi jolie marie
amour à mort en lituanie
je pense à eux amputés de toi à vie
a marie Trintignant
à toutes les femmes tombées à terre
à mary lou (juin 1998)
à tes enfants chère marie
jules, roman, paul, léon
1/8/2003