Nombre de poèmes : 559

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bob-marl a écrit le 09/07/2019 à 18h41

Mon amour,nathalie001 ma petite femme a doreé

Nous sommes séparés pour l'instant
mais pas distants pour autant...
Je sais que notre amour sortira grandi
de cette épreuve de l'éloignement.
En attendant de te retrouver,
je me remémore tes gestes d'antan,
je puise sans cesse dans la richesse
de ce passé qui nous lie.
Je m'ennuie de ton regard posé sur moi,
du charme de ta voix, de ta douce chaleur,
toutes ces manifestations de toi
devenues synonymes de bonheur.
Mais je m'encourage jour et nuit
en anticipant le moment
où nous serons enfin réunis,
et plus forts qu'avant.
bob-marl je t'attendrais avec impatience mon amour

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garance a écrit le 08/07/2019 à 19h47

Vous

mon regard s'est posé sur le vôtre
vous avez bien voulu que je vous prenne la main
mon âme revit depuis ce printemps où de tendres sentiments
se sont noués entre nous
je sais qu'à présent ce que veut dire aimer
et je voudrais vous garder auprès de moi toute ma vie
Printemps 1991
A JACK 1991 1998

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garance a écrit le 08/07/2019 à 19h37

mon écureuil des bois

toi mon écureuil des bois
des bois dormant dans mon torrent d'amour d'amitié et de tendresse
des bois dormant de ton enfance
chaleur de ma vie
ton chemin est séparé du mien par cette montagne qu'est ta vie
mais notre vallée d'amour nous réunit
toi source de ma vie
si mes yeux sont remplis de brume parfois
c'est peut être la peur de te perdre
mon amour
tout comme ophelie je m'endormirai sur un lit de lys blanc
si tu n'es plus
novembre 1991( &çç) à jack (1991-1998)

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garance a écrit le 03/07/2019 à 18h38

2 JUILLET 1998

Tu es là étendu dans cette bière recouverte de satin bleu
bleu comme le ciel d'aujourd'hui
je te regarde, je ne te verrais plus jamais et je meurs moi aussi
noyée dans cet océan de désespoir, aucune perle de pluie
elles sont enfouies dans cette vallée de souvenirs
toi si pudique te voilà exposé aux yeux de tous
adieu mon frère
les hommes te recouvre pour toujours de ce manteau de bois
nous voilà dans ce grand jardin du silence
le soleil insolent accompagne chaque pas
toi l'oiseau qui vole si haut tu ne sais pas
ce nuage de fumée qui s'évanouit dans ce ciel d'été
c'est une vie qui s'en est allée, mon frère
ton visage m'apparait soudain, je ferme les yeux
vole, vole, l'oiseau toujours plus haut
fuit l'homme canon qui tue, qui tue les plumes d'ange
qui tue les gens qui s'aiment
jardin du silence
2 juillet 1998
"je suis morte avec toi"

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Roz'azure a écrit le 02/07/2019 à 16h14

Prier pour que dure le temps,

La main sous le menton
Sans aucun regard à l’horizon
Fermer les yeux sur le présent
Pour écouter passer…
le temps !

Contempler l’enfant au berceau
La main sous le menton
Regarder s’envoler l’oiseau
Et prier pour que dure…
le temps !

Braver les affres de l’instant
Savourer les fruits du labeur
La douceur de l’âpre sueur
Saisir ce que nous laisse…
le moment !

Jouer à pile ou face le bonheur
Regarder s’épanouir les fleurs
Poser la main sur ses blessures
Penser qu’on a encore…
du temps !

Avec tendresse pour le pardon
Se souvenir de ses caprices d’adolescent
Laisser couler ses larmes de grand
Et se redire que tout passe avec…
le temps !

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