Nombre de poèmes : 559

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Guy a écrit le 19/03/2019 à 15h19

L'Ado

L'ado, un devenir,
Un être inachevé
Qui pourchasse son moi,
Qui blâme et qui s'insurge,
Qui s'indigne et méprise,
Découvre ses émois
Et veut croire en lui-même.
Imbu de son ego,
Il se cherche, se trouve,
S'oublie et se retrouve,
Veut recréer le monde,
Conteste l'etabli
Et se fait concepteur
D'une vie idéale,
De joies, de libertés...
L'ado, en résumé,
Est une météo
Qui allie coups de vent,
Canicule imprévue,
Averse intempestive
Et rayons de soleil. .

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Mymy a écrit le 11/03/2019 à 21h41

Dans vos yeux je croyais voir
De la gentillesse et la solidité
D'une longue et belle amitié.

Et mes yeux ont pleuré
Quand j'ai réalisé
Que ce que je voyais
N'était pas la réalité
Car hypocrites vous étiez.

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AMOURANCIA a écrit le 11/03/2019 à 18h18

1ère LETTRE D'AMOUR

A l'ombre du pommier
Témoin de notre premier baiser
Je remémore nos moments partagés
Qui surement vont me manquer.
Pour une autre contrée
Demain tu parts
Et moi, ici vais-je demeurer
Loin de ton regard.
Comme j'aimerais t'accompagner !
Cela en faveur de notre amour
Hélas devrais-je accepter
De te perdre pour toujours.
Pourtant à ton amour
Mon âme est accro
Te trouver un homo ?
Fortement j'en doute.
A toi je n'en veux aucunement
A nos souvenirs, j'en voudrai éternellement
Pour la cause de mon être...
Survivra-t-il ? Peut-être
Car mon cœur bien que fort
Déjà gémit de ton absence
Mon tréfonds aussi fort
Se meurt en silence.

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Armando Caparó a écrit le 10/03/2019 à 21h31

Femme africaine qui glisse en douceur
Sur les routes chaudes d'un univers vert,
En passant, le vent frais et poussiéreux caresse ton corps
Moulant tes costumes multicolores, montrant ta millénaire beauté.

Tu marches silencieusement au milieu de l'agitation des rues
Érigé, balances tes fertiles hanches
Uniquement les énormes arbres avec des noms exotiques
Essaient de caresser ton pas avec leurs feuilles, avec leurs branches, avec leur ombre.

Je suive ton parcours avec mes yeux assoiffés, immobile, surpris,
Ta marche calme et voluptueuse t´emporte lentement
et dans la première courbe de la route, tu disparaisses,
Loin de mes yeux mais pas loin de mon esprit.

Tu es l'Afrique, tu es une Déesse, tu es une femme, tu es une mère, tu es une fille,
Tu es le symbole magique de l'origine des choses
ta présence confirme la divinité de notre être.
Et je te regarde, mais plus que te regarder, je t´admire.

Tu travailles, tu aimes, tu vives, tu souffres et tu gardes ton beau visage sculpté dans une bois éternel
Ta bouche rouge et tes lèvres couleur de fleur sont une source de fraîcheur pour ceux que tu aimes
Et entourent tes dents souriantes qui ont la couleur de la neige lointaine et inconnue
Femme africaine qui glisse en douceur.

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Thierry Bernardet a écrit le 08/03/2019 à 05h40

La femme

La femme est et restera toujours un mystère pour l’homme
Beauté, troublante, enivrantes et mystérieuse, voir intrigante
A vous seule vous pouvez tenir le rôle de mère, de sœur,
De confidente

Vous êtes capable de prendre en charge les choses même
Les plus délicate et improbable qui soi
Forte en caractère et toujours prêt à relever les défit avec
Une telle force d’esprit que même la solidité d’un roc
Pourrait se briser d’émotion devant de telle capacité

Sensible, douce et aimante, vous dont la beauté
Cruelle et pathétique n’est égal à vous-même
Vous resterez pour nous les hommes
L'emblème du respect car avant tout nous
Vous devons le respect et pour nous
Humbles vermisseaux que nous sommes,
Vous êtes et resterez toujours
Une icône et un symbole d’amour et de paix  

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