Nombre de poèmes : 559
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Youssef Amar a écrit le 27/02/2023 à 15h25
Youssef Amar a écrit le 27/02/2023 à 15h23
Je t'aime pour ce regard attentif, cette main sur la mienne, cette présence discrète, cet amour non dit, cette compréhension chaleureuse tout en toi démenant dans l'invisible pour me sortir de cette impasse. Merci doux fantôme de mes nuits et de mes jours, femme au chevet de mes incertitudes. Je t'aime, sans doute, mais comment le savoir. Amour, reflet de mon impuissance, de mon ignorance, qu'est ce que je sais de toi ? Que sais je de cet inaccessible ? J'ai confiance, tu es quelque part et j'aime déjà ce qui sommeille en toi car je crois beaucoup plus en ce qui nous échappe qu'en ce que nous croyons saisir.
Youssef Amar a écrit le 27/02/2023 à 15h21
Bien aimée chérie !!!
T'écrire des belles choses sur notre amour déchu, nous savons tous deux, ma bien-aimée, qu'on a appris en vain, avoir faim et soif de notre amour naguére, à crever les blessures aux coeurs gratuitement, de vivre séparés malgre-nous!
Mais! Nous ne sommes pas obligés de tuer l'amour, tu es la genèse de cet amour, même les ruines de notre empire possèdent des couleurs de cet arc en ciel qui ont laissés des belles peintures de splendeur, dans mon coeur,
D'une époque où j'ai vécu avec toi, toi fée, qui était ma reine, ma princesse et mon amour.
Ainsi, je prends la plume navrée qui tremble entre mes doigts, qui grince sur le papier, de ton silence qui impose ces mésententes.
Juste des mots qui pleurent, desséchés de leurs saveurs, des mots qui crient, comme un appel à l'aide, hurlant leurs agonies, de vivre sa vie sans toi, si affreuse.
Mon cœur est plein d'épines de fer, c'est ton amour qui le possède, rien ne semble pouvoir l'apaiser, il pleure et gémie continuellement de ton absence, et tant de noeuds qui nous lies, aux sentiments qui maltraite, dans l'étreinte est si fort, battant encore de douleur à grande peine, il est la source de mes complaintes.
DIMITRI BRICE MOLAHA FOKAM a écrit le 01/02/2023 à 17h54
TU DISAIS
Tu disais que pour moi tu te coucherais sur la grève
Et que les mots de tes désirs combleraient tous mes rêves
Tu disais que pour moi tu rimerais sur du velours
Et que ton amour servirait de chanson à tous les troubadours
Tu disais que tu me chercherais jusqu’au bonheur du jour
Et que même à mi-carême tout à moi tu resterais blême d’amour
Tu disais que pour moi tu songerais à l’infini du monde tel un naufragé
Et que tous les cœurs gravés sur les arbres noueux seraient tes messagers
Tu disais tant de choses encore, berçant nos nuits de complaintes aimées
Dont le souvenir s’échappe pour n’être que des images caressées
Tu ne disais pas que pour moi tu monterais décrocher la lune à toute heure
Et pourtant elle nous accompagne au fil des jours
pour notre plus grand bonheur...
DIMITRI BRICE MOLAHA FOKAM a écrit le 01/02/2023 à 17h50
J’AI PEUR
J’ai peur, peur de ne pas la comprendre
Et cela rien qu’à l’entendre
Chaque fois que penche son cœur
Bien changeant à chaque heurt
Qu’elle me dise aimer la pluie
Pour vite se mettre à l’abri
A la moindre petite ondée
Qui va la faire ruisseler
Qu’elle me dise aimer le vent
Pour vite enfiler un caban
A la moindre petite brise
Qui va la rendre plus exquise
Qu’elle me dise aimer le feu
Pour ne jouer dès que l’enjeu,
A peine émise une étincelle,
Lui apparait comme réel.
Qu’elle me dise aimer marcher
Pour vite un emprunter un transport
Au moindre tout petit chemin
Qui à ses élans met un frein
Qu’elle me dise aimer la foudre,
Avec les éléments en découdre,
Pour au moindre coup de tonnerre
Se mettre à courir ventre à terre
Qu’elle me dise aimer la vie
Pour vite entrer en léthargie
A la moindre prise de tête
Qu’elle ne se sent plus esthète
J’ai peur, peur de bien l’entendre
Et n’ose que trop la comprendre
Chaque fois qu’elle dit m’aimer
Mais que son cœur peut vaciller.
Je t'aime pour ce regard attentif, cette main sur la mienne, cette présence discrète, cet amour non dit, cette compréhension chaleureuse tout en toi démenant dans l'invisible pour me sortir de cette impasse. Merci doux fantôme de mes nuits et de mes jours, femme au chevet de mes incertitudes. Je t'aime, sans doute, mais comment le savoir. Amour, reflet de mon impuissance, de mon ignorance, qu'est ce que je sais de toi ? Que sais je de cet inaccessible ? J'ai confiance, tu es quelque part et j'aime déjà ce qui sommeille en toi car je crois beaucoup plus en ce qui nous échappe qu'en ce que nous croyons saisir.