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Chaleil a écrit le 12/02/2019 à 20h20

Le Théorème de la brûlure,

Au fin fond du sommeil
l'ère du Temps perdu
Parcours les cœurs éphémères
A la recherche de l'Absolu.

Le parcours du Soleil
A l'étincelle de cette vertu,
Apporte phobies amères
A nos rêves éperdus.

Pourquoi à l'insistance lutter
A la découverte de la Vie ?
Elle qui à l'Orée se refuse
Partant à la chasse évanouie.

L'espérance tordue née
Cherche les jours tapis
Du bonheur qui amuse
Avant qu'il ne divise.

Les images mensongères
Qui râlent et nous éloignent,
Refusant tous nos reproches
S'évadent, vont et viennent.

Rien ne s'explique aux mères
Celles qui râlent et nous grognent,
Parties loin des rêves moches
Aux idées hybrides et miennes.

Les gouffres gris et humides
Dilapident nos espérances
Aux rythmes noirs du partir
Cherchant nos vies d'errance.

Bonheurs, Amours, restés lucides
Face aux espoirs déments
Qu'on peut voir venir
Lors de nos tristes instants.

Le rêve de la Vie, de l'Amour
Demeure mais n'existe pas.
Nous suivons nos détours
A la recherche de notre trépas.

Basile Béranger Chaleil

Le 15 décembre 2015

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Youn Es a écrit le 12/02/2019 à 05h55

Ma raison d'être.

Si je devais vivre ma vie deux fois,
Jamais, jamais, je n'aurais marre de toi.

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Chaleil a écrit le 10/02/2019 à 20h11

Rêves de Satin

Où sont nos rêves qui dansent la chamade ?
De ces Temps de jeunesse aux desseins qui dansent,
Nous osions refaire ce Monde ténébreux.

L'espoir de cet Univers qui nous balade
Ne nous a jamais apporté aucune valse.
Le sel des orages crèvent le ciel nuageux.

L'humidité de l'herbe colle aux narines
Tout comme l'exemple de son regard mutin
Me poursuit jour et nuit jusqu'à l’Éternité.

Au tréfonds d'un puits de ténèbres marines,
Cette alcôve parcourue du rêve de Satin
Donne un espoir imaginaire parfumé...

Basile Béranger Chaleil

Le 08 Mars 2017

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Valentin a écrit le 09/02/2019 à 22h47

Maman ..

La maman ... Quel être saint
Sans limites dans son amour
Elle, qui nous fait sentir enfantin
Quand on prononce son nom, si court ...

Je me rapelle de mon enfance
Les beaux été aux éclaircies topazes
Je me rapelle ta bienveillance
Ma douce maman ... ton beau visage

Ça me manque encore ses temps
D'innocence, et simplicité
Tes regards miroitant
En m'observant assis jouer

Je me rappelle encore des jours
Quand tu m'apprenais à dire pardon
À être bon et pas balourd
Et vivre avec compassion

Je vois que les années passent
En voyant tes cheveux enneigées
Et je sens que tu ne te lasse
Jamais de me protéger.

J'écris au fond de moi maman
Ton si beau nom, en fil d'oré
Car pour moi tu as fait autant
Et je ne sais comment te remercier.

Pour ma maman !
Valentin T.

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Béatrice1965 a écrit le 07/02/2019 à 10h39

J'ai dans mon coeur !

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