Nombre de poèmes : 559
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Gaytan a écrit le 28/01/2019 à 16h00
Lisa a écrit le 24/01/2019 à 19h44
AMITIER
J'ai tenté de m'accrocher,
Tant bien que mal à l'amitié.
Mais je l'ai vite regretté,
Retrouvé à l'arrivé.
Elle est remplis de déception,
Son deuxième prénom trahison,
Pour toujours je la bannis,
A jamais je la haïe.
Un poison doux mais dangereux,
qui n'attire que les miséreux.
Je ne serais pas comme eux.
Ce que tu fais Amitié, c'est honteux
Sam a écrit le 23/01/2019 à 22h39
Soleil sombre du couchant
Ne m'oublie pas quand ta noire lueur sera éteinte
De tes cendres finira ce jour embrasé
Qui a jamais m'aura blessé
Adieu Soleil, je meurs
Et toi qui bientôt renaîtra,
Pense à moi lorsque le jour sera tombé
Pense à moi lorsque le soir sera levé
Adieu pauvre monde, et à bientôt, Soleil
Dont la noirceur a illuminée tant de vies
Et qui je l'espère
M'abandonnera au paradis
Sam a écrit le 23/01/2019 à 22h33
Ombre d'espoir dans les ailes de l'infini
Lumière noire perdue dans la galaxie
Éclat d'une flamme éteinte autrefois brûlante
Du lointain souvenir de notre aimée vivante
Image d'un visage flou et puis d'un cri
Sombre présage ou la triste fin d'une vie ?
Nous ne pouvons que trop connaître le malheur
Lorsque la mort fait don d'une triste douleur
Nous ne pouvons que pleurer notre bien aimée
Les voiles de l'éternité l'ont enlevée
Son visage figé d'un éternel sommeil
Sans espoir réel du jour prochain d'un réveil
Mon bonheur perdu jamais ne fut retrouvé
Et à présent la mort est venue me chercher
Mais je ne peux qu'espérer dans l'obscurité
Car je distingue là-bas, au bout d'une allée
Le visage connu d'une personne aimée
Le visage d'un ange que jaij regretté
Le visage d'une femme que j'ai pleuré
Et malgré la peur que je ressens, je souris
J'ai retrouvé la fille aimée durant ma vie
Mon chagrin s'est éteint, mon bonheur ravivé
Ma vie va partir, mon sourire va rester
Pour l'éternité
Sam a écrit le 23/01/2019 à 22h18
Chagrin éternel
Ombre d'espoir dans les ailes de l'infini
Lumière noire perdue dans la galaxie
Éclat d'une flamme éteinte autrefois brûlante
Du lointain souvenir de notre aimée vivante
Image d'un visage flou et puis d'un cri
Simple présage ou la triste fin d'une vie ?
Nous ne pouvons que trop connaitre le malheur
Lorsque que la mort fait don d'une triste douleur
Nous ne pouvons que pleurer la personne aimée
Les voiles de l'éternité l'ont enlevée
Son visage figé d'un éternel sommeil
Sans espoir réel du jour prochain d'un réveil
Mon bonheur perdu jamais ne fut retrouvé
Et à présent la mort est venue me chercher
Mais je ne peux qu'espérer dans l'obscurité
Car je distingue là-bas, au bout d'une allée...
Le visage connu d'une personne aimée
Le visage d'un ange que j'ai regretté
Le visage d'une femme que j'ai pleuré
Et malgré la peur que je ressens, je souris
Jai retrouvé la fille aimée durant ma vie
Mon chagrin s'est éteint, mon bonheur ravivé
Ma vie va partir, mon sourire va rester
Pour l'Éternité
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
Mon jardin, ce n’est pas un jardin, c’est la plaine
Mon chemin, ce n’est pas un chemin, c’est la neige
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
Dans la blanche cérémonie
Où la neige au vent se marie
Dans ce pays de poudrerie
Mon père a fait bâtir maison
Et je m’en vais être fidèle
À sa manière, à son modèle
La chambre d’amis sera telle
Qu’on viendra des autres saisons
Pour se bâtir à côté d’elle
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
Mon refrain, ce n’est pas un refrain, c’est rafale
Ma maison, ce n’est pas ma maison, c’est froidure
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
De ce grand pays solitaire
Je crie avant que de me taire
À tous les hommes de la terre
Ma maison, c’est votre maison
Entre ses quatre murs de glace
Je mets mon temps et mon espace
À préparer le feu, la place
Pour les humains de l’horizon
Et les humains sont de ma race
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
Mon jardin, ce n’est pas un jardin, c’est la plaine
Mon chemin, ce n’est pas un chemin, c’est la neige
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’envers
D’un pays qui n’était ni pays ni patrie
Ma chanson, ce n’est pas ma chanson, c’est ma vie
C’est pour toi que je veux posséder mes hivers