Nombre de poèmes : 559

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Abdelhafid Tadj a écrit le 14/12/2018 à 12h30

Brave et Dévouée

De quoi est-il mort ? Ce gamin joyeux et fort.
L’olivier centenaire, son ombre fut sa sphère.
Belle et pieuse qui tacitement entendait son air.
Inéluctablement, respecta son exquis folklore.

Hantée par ces douloureuses réminiscences,
La dévouée ayant l’appétence de s'évanouir :
Vers la Kaaba s’achemina solliciter clémence.
‘Dieu libérez-moi de ces consternants souvenirs!’

Au creux du Mont Antar la brave Cherifa méditait.
Bien avant que la bourgade et les citadins n’existaient.
Le dôme blanchi par les nobles de toujours attrayant.
Majestueux, solennel, grandiose, bienséant et vaillant.

Après un autre pèlerinage, par malheur se voit altérée!
Son vœu par ses probes filles hardiment exaucé :
Ả coté du jeune pâtre, sous le palmier soit enterrée.
Ce petit flûtiste qu’elle épouvantablement connaissait.

Abdelhafid Tadj

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Abdelhafid Tadj a écrit le 14/12/2018 à 12h24

Quel sort !
Parmi les Kanaks, lui qui vient de loin.
Ce dissident qui ; aux Kabyles se joint.
Bien longtemps après mil huit cent quatre-vingt,
Fut dénoncé par la lettre d’un cousin.
***
Depuis toujours, et sans fin courageux.
Comme les grands de son air et ses aïeux.
N’a eu aucun temps pour faire ses adieux.
Et toute sa tribu dut quitter les lieux.
***
Sur la Loire, son grand périple infernal:
Cruel, long, pénible, dur, et fort pitoyable.
Nouméa! Sa destiné amorale.
Quel sort ! Il n'y a pas de plus lamentable.
***
C’est Victor Hugo et ses contemporains
Qui étaient contre ce système fort malsain
Des politiciens et quelques aigrefins.
Le Duplex, ah ! N’était pas arlequin.

Abdelhafid Tadj

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Oumar Ali dayang a écrit le 29/11/2018 à 09h16

Je t'ai détesté, je t'ai haïr, je t'ai trompé, je t'ai injurié, je t'ai traité de lâche! mais je ne jamais arrêté de t'aimé même une seconde... oumar ali dayang

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Oumar Ali dayang a écrit le 29/11/2018 à 09h01

pourquoi ne m'as tu pas dit que tu existas? si j'avais su bien avant qu'il exista ton coeur quelque part, j'allais être le premier à être au lieu! Oumar ali dayang

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Evelyne Doré a écrit le 25/11/2018 à 17h10

LE CREDO DE NOTRE AMOUR

Je crois en cette lumière qui a illuminé ma vie au moment où tout était obscur,
Je crois en cet elfe qui de ses ailes a protégé mon cœur telle une armure,
Je crois en ce beau prince, charmant, rayonnant, attirant, tel un précieux diamant,
Je crois en ce merveilleux sourire qui représente pour moi le plus beau des talismans,
Je crois en cet arc en ciel magique qui a coloré mon cœur de couleurs magnifiques,
Je crois en ces instants mirifiques et romantiques qui ont rendu notre histoire fantastique,
Je crois en cette métamorphose car chrysalide j'étais papillon tu me fis,
Je crois en ce soleil en pleine nuit qui a à jamais ensoleillé ma vie,
Je crois en cet oasis qui a fait surface dans le désert qu'était mon cœur,
Je crois en cette lueur dans tes yeux, qui a su effacer, voir déblayer mes douleurs,
Je crois en ce je t'aime qui s'est glissé à mes oreilles telle une mélodie ensorcelante,
Je crois en cette surprenante relation, passionnante dans laquelle ma vie est devenue mirobolante,
Je crois en ce jour où de ce doux baiser, le début de notre histoire a été tracé,
Je crois en ses frissons que j'ai ressenties car ivre de tes baisers,
Je crois en notre amour qui jour après jour ne cesse d'augmenter chaque minute et seconde,
Je crois en ce sentiment qui me kidnappe et m'éloigne de toutes ces choses immondes,
Je crois que je t'aime et que tu es et tu demeureras le roi de mon petit monde !

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