Nombre de poèmes : 559
Champs obligatoires
badara aliou Fomba a écrit le 31/01/2018 à 12h47
deplene a écrit le 07/01/2018 à 23h57
Femme, mère
Mère… Génitrice
Quand tu cries, ce n'est pas par simple caprice
Mère!
Mère, tu donnes la vie dans la douleur
Pour la remplir ensuite de ta douceur.
Mère!
Ton cœur est plus vaste qu'une prairie
Ta patience se mesure à l'infini
Tu répands partout la vie et partout tu sèmes la joie
Que du bonheur on trouve autour de toi
Amour…
Amour et bonté…
Amour, bonté et sensibilité
Tu donnes l'amour à profusion
Par des gestes pleins de signification
La bonté qui émane de ton regard caressant
N'a d'égale que ce sublime sourire simple et attendrissant.
Comme le ciel, vaste est ton cœur
Comme le soleil, tu rayonnes de chaleur.
…Aux matins maussades tu insuffles des couleurs
Et dans les ténèbres les plus sombres tu mets de la lumière.
deplene a écrit le 07/01/2018 à 23h52
Hommage du poète à la femme :
Femme,
Tu fus la patience devant la terreur
Le courage devant l’horreur.
Tu combattis longtemps l'arrogance
La perfidie, l'injustice et surtout l'ignorance
Hélas, on ne perçoit toujours pas la profondeur de ta lutte.
Toi, le soutien inébranlable de combien d'hommes illustres
Tu n’as pas fini de faire parler de toi
Tu es plus forte encore que tu ne le crois.
Femme
Le courage et la combativité
Ne sont pas tes seules qualités
T'es surtout charme, douceur et beauté
Un plaisir à vivre, un être à savourer
Tu es le bien-être, la joie, tu es la vie
Sur ton passage le plus bel ange rougit
T'es source de vie, tu incarnes la gaieté
Car le bonheur et la joie de vivre, c’est toi qui les as créés.
MIREILLE a écrit le 03/01/2018 à 16h19
Dix
Sept heures 20,
Sylvain
Est
Rentré
Chez lui...
Il ne fait
Pas de bruit,
Le petit chaton
Dors sur son paillasson...
Quand
Il l'entend il se réveillle et s'étire... Ses Yeux
S'ouvent en grand
Heureux
De le retrouver !
MM
Ma 19/12/17
Jayoo 001 a écrit le 01/01/2018 à 05h28
Le frisson de la mort
Au gré d'un monde sans valeur
Règne un cauchemar sans réveil
Aux amertumes d'un chagrin sans heures
Qui n'est d'autre que vermeille.
Le voir s'éloigner à travers les nuages,
S'évanouir dans un train d'image
Apiré par cet abysses sans fond
À travers l'ombre des vallons.
Sur les ailes d'un silence rampante
On laisse la nature s'en desider
Air sinistre,dilemme hurlante
Mais Hélas!On ne peut rien si opposer.
si tu étais une fleur je te plantérais dans mon pour pouvoir t'arroser tous les jours