Nombre de poèmes : 559

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Aurora a écrit le 08/11/2017 à 16h08

Mon Ami,

Si ton coeur doucement pleure,
Si ton corps patiemment souffre,
Lève toi dès L'aurore et va
Sur le chemin semer ta peine.

Marche, cherche cet instant
Où l'harmonie des éléments
Culmine en un instant parfait.
Mesure ton souffle a ton pas.

Baigne toi dans l'air du temps,
Respire le parfum des roses
Savoure le bonheur des choses
Que la nature offre chaque instant.

Alors seulement tu pourras,
Sereinement, rentrer chez toi.

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Thierry a écrit le 07/11/2017 à 11h53

Un Amour en Noir & Blanc

Il m’est impossible de vivre sans ce sentiment,
Lentement il s’est emparé de moi comme un châtiment ;
Bonheur de féérique et terriblement envoûtant,
Qui fait penser pour deux et vivre pour deux à chaque instant.

Libéré des chaines de l’intellect je viens t’ouvrir mon cœur,
Tu es la brise qui insuffle en moi la joie et le bonheur ;
Avant ma vie était rythmée de regrets et de pleurs
Aujourd’hui quand j’ouvre les yeux je vois partout des fleurs.

Nul ne pourra me séparer de cet amour fou,
Les extrémistes, les conformistes et même les jaloux ;
Pourquoi faut-il que notre union soit jugée partout ?
L’amour n’a pas de couleur, on s’aime et puis c’est tout !

Je meurs un peu quand je suis là où tu n’es pas,
Je t’aime si fort et tu fais partie de moi ;
Te conquérir est mon désir, tu es mon Nirvana,
De tes enfants, éperdument je veux être le papa.

Telle une nixe, tu m’attires, tu es l’opium de mon âme,
Mirabelle douce et parfumée, de ma vie tu es la femme ;
Si parce que je t’aime ma tête doit rouler sur le macadam,
J’aiderai mes bourreaux quand ils voudront hisser la lame.

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Michele a écrit le 05/11/2017 à 22h04

Tendre recours

Face à cet oubli qui s'installe
Avec ce coeur perdu dans les dédalles
De la vie qui passe indifférente
De laisser une pauvre âme errante

Mais un regard, un sourire fêlés
Qui s'attache à tes prunelles rougies
Et noyées de larmes refoulées
Eperdues de trouver encore un Ami

Face à l'insondable douleur
Rejeté de la table de l'amour
L'esprit accablé en ces jours
Qui se traînent sans fin ni détour

Mais une main douce et fragile
Qui se tend vers l'ignoble malheur
Dernier espoir ténu comme le fil
Qui rejoint le retour du bonheur

Quand toute chose part et se perd
Que s'écroulent les murs tant élaborés
Qu'il reste au moins sur cette terre
Le fort et subtil parfum de l'Amitié

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MAUD a écrit le 03/11/2017 à 22h04

Tantôt blagueur
Souvent charmeur
Bourreau des coeurs..

Tu me Chavire
Par ton sourire
Pour me séduire...

Ta voix m'envoûte
Plus aucun doute
Je suis conquise..

Je fais le voeu
De tant t'aimer
Mon Adoré...

............MAUD..

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MAUD a écrit le 03/11/2017 à 08h23

PETITE FILLE...

Qu'as-tu petite
Pourquoi pleures tu...

Ton regard bleu
Scrute l'océan
Au delà des vagues..

Ton désespoir
M'attriste tant
Toutes ces larmes
Coulent sans fin..

J'aimerais te consoler
Te rassurer
Cherchons ensemble
Prions les cieux...

C'est si terrible
Ce regard bleu
Cette petite fille
Elle espère tant...

Cet ocèan
Il est si grand
Où sont -ils donc
Rêves d'enfant
Devenu grand..

Je me revois
En cette petite
Scrutant au loin
Dans le lointain..

Juste un ptit signe
Pour mon ptit coeur
Si malheureux..

Si vide de vous
Si plein d'espoir
Et juste un soir
Vous entrevoir...

Je vous aime
Votre ptite fille

.....MAUD...

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